🗓️ DU 3 AU 11 SEPTEMBRE 2021 |
Participez en présentielParticipez en ligne |
Les défis sont multiples en matière de droits et d’accès équitable aux ressources naturelles. Il faut accroître l’équité sociale, financière et politique, tout en inversant la marginalisation et la l’exclusion des groupes et des individus. La moitié des habitants de la planète, les femmes, n’ont toujours pas accès au même statut, à la même protection et aux mêmes opportunités que l’autre moitié. La prise de décisions et la représentation demeurent déséquilibrées. Comment pouvons-nous améliorer la participation et la représentation des femmes, des jeunes, des peuples autochtones et autres groupes sous-représentés dans toutes les questions liées à la gouvernance ? Quelles voies peuvent être explorées pour garantir l’accès aux mêmes opportunités pour tous ? Quels préjugés doivent encore être démystifiés ?
Une gouvernance équitable et efficace exige la mise en oeuvre d’un processus décisionnel inclusif, ainsi que le respect des valeurs culturelles et des connaissances traditionnelles. Comment les rôles et contributions des peuples autochtones et des communautés locales peuvent-ils être renforcés ? Quels éléments manquants de la gouvernance pourraient aider à réduire les tensions liées à des intérêts conflictuels autour des ressources naturelles et à assurer des approches plus intégrées au partage et à la mise en oeuvre des connaissances ?
La primauté du droit en matière d’environnement, y compris l’obligation de protéger la nature, les droits de la nature et le droit à la nature, continuera d’être débattue et renforcée. Quels nouveaux principes et instruments sont nécessaires en matière de droit international de l’environnement ? Comment le monde peut-il appliquer le régime juridique actuel afin d’éradiquer plus efficacement le commerce illégal des espèces sauvages, protéger les défenseurs de l’environnement et assurer la non-régression ?